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Arnaques financières : Marjorie Bazerque prête à payer Rs 1 M pour sa remise en liberté conditionnelle

16 septembre 2013, 23:07

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Arnaques financières : Marjorie Bazerque prête à payer Rs 1 M pour sa remise en liberté conditionnelle

Marjorie Bazerque, qui estpoursuivie sous trois chefs d’accusation, soit de blanchiment d’argent, de conspiracy to defraud et d’escroquerie se dit prête à payer une caution de Rs 1 million pour recouvrer la liberté. Elle demande à la Cour de revoir la décision du magistrat siégeant à la Bail and Remand Court, qui avait rejeté sa requête de remise en liberté conditionnelle, le 29 mai.

 

Sa détention prolongée provoquerait la détérioration de son état de santé. C’est ce que déclare Marjorie Bazerque, dans un affidavit juré en Cour suprême vendredi. La directrice de JeT’aime Marketing et consultante d’Emidore Trading, arrêtée dans le cadre d’une escroquerie de plus de Rs 300 millions, demande à la Cour de revoir la décision du magistrat siégeant à la Bail and Remand Court, qui avait rejeté sa requête de remise en liberté conditionnelle, le 29 mai. Elle se dit prête à payer une caution de Rs 1 million pour recouvrer la liberté.

 

Marjorie Bazerque est poursuivie sous trois chefs d’accusation, soit de blanchiment d’argent, de conspiracy to defraud et d’escroquerie. Dans son affidavit rédigé par l’avoué Kaviraj Bokhoree, elle avance cinq raisons principales expliquant pourquoi la Cour devrait lui accorder la liberté conditionnelle. Parmi, le fait que «the Learned Magistrate misunderstood and misconstrued my explanation in connection to Emidore. At no time, have I mentioned I have accepted investment from the Purchases», expliquet- elle dans son affidavit.

 

Elle tient également à rassurer la police qu’elle ne compte pas interférer avec les témoins de la poursuite. «Alors que je ne connais pas les présumées victimes qui ont été arnaquées, comment pourraije interférer avec les témoins ?» demande-t-elle.

 

Commentant la crainte de la police qu’elle quitte le pays, Marjorie Bazerque soutient que la police est en possession de son passeport. Du reste, ajoute-t-elle, elle doit s’occuper de sa mère qui est malade.