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Rentrée 2012 : Les parents ont jusqu’à ce mardi pour contester la liste des admis en Std I

30 août 2011, 00:00

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Rentrée 2012 : Les parents ont jusqu’à ce mardi pour contester la liste des admis en Std I

Une première liste des admis en première année du primaire, pour la prochaine rentrée des classes, peut être consultée dans toutes les écoles de l’île. Les parents qui y voient quelque objection ont jusqu’à ce mardi 30 août pour faire entendre leurs voix.

Nouvelle étape dans l’exercice d’admission en Std I pour la rentrée de janvier 2012. Après les inscriptions effectuées en avril dernier, une liste provisoire des admis est affichée dans toutes les écoles primaires à travers l’île depuis le lundi 29 août et ce jusqu’à ce mardi 30.

Les parents insatisfaits peuvent se présenter dans les différents établissements scolaires, de 9h30 à 14h30, ou dans les bureaux de la zone d’éducation de leur région, de 9h30 à 11h30 et de 13 heures à 15 heures. Pour la zone 1 (Port-Louis/Nord), à la rue Edith-Cavell, à Port-Louis. Les parents de la zone 2 (Beau-Bassin-Rose-Hill/Est) peuvent se rendre au Centre national pour la recherche et le développement des programmes (NCCRD), sis à la rue Herchenroder, Beau-Bassin. Les Curepipiens et les habitants du Sud peuvent, pour leur part, s’adresser à la Chapel Lane (en face du poste de police), à Rose-Belle, tandis que pour la zone 4 (Vacoas-Phoenix/Ouest), ce sera au Jhugroo Building Street, à la route St Paul, Vacoas.

Pour les retardataires qui n’ont pas encore inscrit leur enfant, il n’est pas trop tard. Ils ont jusqu’à ce mardi pour le faire, en se rendant à l’école primaire la plus rapprochée de leur résidence. L’enfant devra avoir 5 ans au 31 décembre prochain. A ne pas oublier : sa pièce d’identité nationale, le certificat de naissance de l’enfant et des originaux des factures du Central Electricity Board (CEB) et de la Central Water Authority (CWA) servies à leur lieu de résidence pour les mois de mai, juin ou juillet 2011.

Dans un communiqué daté du 22 août, le ministère de l’Education rappelle aux parents que priver l’enfant du droit à l’éducation est passible d’une amende n’excédant pas Rs 10 000 et d’une peine d’emprisonnement ne dépassant pas deux ans.