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Pollution sonore : la discothèque Shotz une nouvelle fois verbalisée par la police de l’environnement

2 avril 2012, 00:00

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Pollution sonore : la discothèque Shotz une nouvelle fois verbalisée par la police de l’environnement

Les boîtes de nuit, sous le coup d’un « stop order », sont suivies de près par la police de l’Environnement. La discothèque Shotz, à Flic-en-Flac, a été verbalisée il y a deux semaines pour n’avoir pas respecté les normes environnementales.

Le Shotz est dans la ligne de mire de la police de l’Environnement. Les autorités sont, en effet, passées à l’offensive après que la boîte de nuit de Flic-en-Flac eut fait fi des conditions du « stop order » émis en janvier dernier. Elle a reçu une contravention, il y a deux semaines, à cet effet.

Le Teasers, autre établissement de Flic-à-Flac, géré par la femme d’affaires Lise Coindreau, avait également été sanctionné pour tapage nocturne. En fait, aucun établissement de ce type ne peut opérer comme une boîte de nuit sans que le gérant ne possède un Preliminary Environment Report (PER). Ce document assure que l’opérateur respecte le nombre de décibels prescrit par le ministère de l’Environnement.

Selon la police de l’Environnement, les établissements sanctionnés ont, certes, le droit d’ouvrir leurs portes, mais doivent surtout respecter le nombre de décibels prescrit par la loi. Il s’avère que de nombreuses plaintes ont été faites à l’effet que les deux clubs sont des sources de pollution sonore dans ce village de l’Ouest.