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Mario Armel concocte une soirée Oldies & Goldies le 8 octobre au Coquillage à Albion

15 septembre 2011, 00:00

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Mario Armel concocte une soirée Oldies & Goldies le 8 octobre au Coquillage à Albion

Après le concert-anniversaire gratuit le 28 mai dernier pour célébrer ses 45 ans de carrière, le chanteur Mario Armel prépare un nouveau rendez-vous pour ses fans. Le 8 octobre prochain, c’est au Coquillage à Albion qu’il tiendra une soirée dansante sur le thème Oldies & Goldies.

Anita My Love, Cari Posson et autres To la voix, to simin, to la misik. Autant de titres du chanteur Mario Armel qui font toujours se déhancher. Avec une riche discographie en 45 ans de carrière, le chanteur ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Après le concert-anniversaire qu’il a offert de tout cœur le 28 mai dernier, Mario Armel organise cette fois-ci une Dancing Party au Coquillage à Albion. Il sera pour l’occasion accompagné du Rage Band, orchestre comprenant son fils Vicario Armel parmi les musiciens.

Mieux encore, le chanteur a tenu à faire revivre l’ambiance des années 70 lors de cette soirée portant le thème Oldies & Goldies. Parmi les artistes-invités à cet évènement, figurent les voix locales interprétant les Engelbert Humperdinck, Michèle Torr, Dalida ou encore Johnny Hallyday à l’époque. Notamment, Lindsay Baker, Pierre Cangy ou encore Marie-Josée Ducasse.

Rien que pour vous mettre dans l’ambiance, Mario Armel, connu comme le Mike Brant local, parle d’interpréter des chansons comme Qui Saura.

Le billet est à Rs 350 par personne en prévente. A la soirée (Bring Your Own), ce sera à Rs 400 par personne.
En attendant, le DVD des 45 ans de carrière de Mario Armel est déjà disponible à Rs 200.

Celui-ci qui dit continuer de créer, regrette néanmoins de ne plus pouvoir produire de nouvel album. « Produire un album coûte un minimum de Rs 300 000, comptant les frais en studio à Rs 4 700 par jour, l’ingénieur de son à Rs 2000 par jour, le musicien à Rs 1 500 par personne par titre. Ajouter à cela un minimum de dix jours en studio, le mastering des disques, la pochette entre autres. Au final, un CD qui se vend à Rs 150 aux revendeurs, qui le vend à son tour à Rs 200. Autant de raisons qui font que je n’ai plus de courage à faire des disques », a conclu Mario Armel.