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Love: Un amour sans espoir…

28 février 2013, 00:00

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Love: Un amour sans espoir…

Damien : La première fois que je l’ai aperçue je suis tombé sous son charme… J’avais une drôle de sensation au niveau de l’estomac et j’étais tout excité de faire sa connaissance… On était dans la même équipe et je ne pouvais pas m’empêcher de l’admirer, de m’approcher d’elle. On a passé un week-end de rêve. Tous mes sens étaient en éveil. Le dimanche après-midi je me suis rapproché d’elle pour lui demander son numéro de téléphone et surtout lui demander si je pouvais la raccompagner. Au même moment, un mec est arrivé et l’a embrassé dans le cou. C’était trop tard…mon cœur était déjà en mille morceaux…

 

Combien sommes-nous, comme Damien, à tomber amoureux de la mauvaise personne ? C’est arrivé au moins une fois à tout le monde. Eh oui ! Tu n’es pas seul à être confronté à un amour sans espoir, à une histoire qui n’est pas seulement sans lendemain mais qui ne commencera jamais…

Rassure-toi, comme beaucoup de choses douloureuses cette étape est normale dans ta vie de jeune. C’est – encore une fois – une histoire d’hormones. Alors comment s’en sortir ? Comment ne plus ressentir ce sentiment de vide ? Ce sentiment de n’être bon à rien et d’être plus bas que terre ?

 

Fille ou garçon ? Les hormones - oui encore elles ! - vont fonctionner différemment– il y a bien évidemment des exceptions.

 

Les filles vont réagir physiquement : maux de ventre, malaises, crises de larmes. Elles vont aussi beaucoup parler de leurs sentiments à leurs amis, dans un journal intime ou encore à travers leurs «status» sur les réseaux sociaux. «Je changeais de «status» toutes les dix minutes, déclare Ashveena, 18 ans. Je n’arrêtais pas de pleurer, de me lamenter, de dire que ce mec c’était l’homme de ma vie. Le pire c’est que ce type ne me connaissait même pas. On s’est juste croisé quelques fois dans l’autobus. C’est fou ça ! Trois ans après je souris mais à l’époque ça faisait hyper mal».

 

Quant aux garçons, ils vont jouer les durs, rouleront des mécaniques et donneront l’impression de ne rien ressentir. Collectionner les amourettes est pour eux une façon de procéder, juste pour être sûr d’être encore dans le coup. Daniel est devenu un vrai Don Juan à l’époque où il se lamentait de ne pas pouvoir être avec sa voisine : «Je voulais la rendre jalouse, je passais devant elle avec des filles à mon bras. Je changeais de copine toutes les semaines. J’étais moi-même étonné d’avoir autant de succès auprès de ces nanas… wow ! La tristesse et le chagrin d’amour rendent attirant. Le saviez-vous ? Aujourd’hui nous sommes bons copains avec Elia (celle dont il était fou amoureux), mais je ne lui ai jamais avoué à quel point elle me rendait fou. Elle se moquerait trop de moi!»

 

Si toi aussi tu as déjà souffert/tu souffres pour un inconnu, tu es maintenant rassuré : tu n’es pas dingue et, surtout, ça va passer….