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Les meilleurs aliments brûle-graisses

16 novembre 2013, 00:00

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Les meilleurs aliments brûle-graisses

Certains aliments sont qualifiés de brûle-graisses car ils augmentent le nombre de calories brûlées par l’organisme. Même si leur effet est souvent modeste, quand on en associe plusieurs dans une journée, cela améliore notre silhouette et nous donne une meilleure santé. Il convient toutefois de faire attention. Les brûle graisses n’annulent pas toutes les calories d’un dholl-puri ou d’une pâtisserie. Une bonne hygiène de vie est recommandée. Enfin, sachez que le meilleur brûle graisses est une activité physique régulière.

 

LE THÉ VERT

Il contient un polyphénol spécifique qui booste le métabolisme, autrement dit qui fait dépenser plus de calories. Plusieurs études ont démontré son intérêt. N’en buvez toutefois pas plus d’un demi-litre par jour, de façon à ne pas ingérer trop de théine excitante. Et consommez-le de préférence en dehors des repas pour ne pas nuire à l’absorption du fer. Par ailleurs, sa caféine aide à brûler les graisses. Attention toutefois pour les personnes souffrant d’anomalies cardiaques : le cocktail effort, caféine et prédispositions cardiaques peut être la cause d’accidents graves.

 

LE CITRON

Son acidité freine la digestion des glucides (sucres), qui sont alors assimilés plus lentement et élèvent moins la glycémie (taux de sucre sanguin). Il en résulte une sécrétion moindre d’insuline et par conséquent moins de stockage! En pratique, on peut en ajouter sur le poisson, les crudités, les salades de fruits, dans l’eau de boisson... Gare toutefois aux estomacs fragiles! Autre idée reçue à briser : l’ananas n’est pas un fruit brûle-graisses. Il contient une enzyme, la broméline, qui contribue à la digestion des protéines et non des graisses.

 

LE CURCUMA

La curcumine, le pigment jaune qui colore le curcuma, aurait des effets normoglycémiants (qui contrôlent la glycémie). Selon des expériences menées chez des rongeurs, il réduirait le besoin en insuline et par conséquent le stockage des graisses. Si son efficacité reste à démontrer chez l’humain, rien n’empêche de cuisiner un curry plus souvent.

 

LA CAROTTE

Elle compte parmi les légumes les plus riches en pectine, une fibre soluble qui réduit l’assimilation des graisses. En dépit de sa saveur sucrée liée à la présence de saccharose, elle n’apporte que 6,6% de glucides et 36 kcal aux 100 g. Râpée, vapeur, en purée, en soupe, on ne s’en prive pas !

 

LE CACAO

 

Ses flavonols réduiraient le besoin en insuline après la consommation de glucides et ceci plus efficacement encore chez les personnes en surpoids. Or, si l’organisme sécrète moins d’insuline, il stocke moins les graisses. Faites-vous plaisir avec 20g (2 carrés) de chocolat noir par jour.

 

LE SON D’AVOINE

 

Ses fibres solubles limitent l’assimilation des graisses. Bonus, il constitue un excellent coupe-faim ! La dose efficace ? 2 cuillères à soupe par jour, de préférence bio pour éviter d’ingérer d’éventuels résidus de pesticides.

 

LE PAIN COMPLET

 

Il compte parmi les meilleures sources de chrome, un oligoélément essentiel au bon fonctionnement de l’insuline et au maintien d’une glycémie normale. Un bon apport évite aux sucres excédentaires d’être transformés en graisses de réserve.

 

L’AUBERGINE

 

Elle est riche en pectine, une fibre soluble qui réduit l’assimilation des graisses. Elle est réputée pour absorber l’huile comme une éponge dans la poêle, mieux vaut donc la cuire en papillote !

 

LA CANNELLE

 

Comme le curcuma, elle faciliterait l’action de l’insuline et réduirait ainsi le stockage des graisses. Délectez-vous donc de pommes à la cannelle pour le dessert ou le goûter !

 

LA POMME

Elle compte parmi les fruits les plus riches en pectine, une fibre soluble qui réduit l’assimilation des graisses. Bonus : elle est raisonnablement calorique : 80 kcal la pomme de 150 g.

 

LE PIMENT

 

Il est concentré en capsaïcine, un composé qui stimulerait le métabolisme et favoriserait la combustion des graisses. Dans une étude, des volontaires ont suivi un régime dans lequel il leur était demandé d’en prendre en supplément. Ceux-ci ont perdu davantage de poids que les sujets n’ayant pas été supplémentés. Bémol : le piment donne une sensation de brûlure en bouche qui limite sa consommation. Il y a aussi de la capsaïcine dans le poivron et le paprika.