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L’effronté, l’équilibré et le timide…vus par les autres
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L’effronté, l’équilibré et le timide…vus par les autres
Nous nous demandons souvent ce que les autres pensent de nous. Mais nous ne posons jamais – ou presque – la question. Craignant que la réponse ne soit pas celle que nous attendons ou de peur de paraître trop narcissique.
Voici trois «portraits» différents face au jugement des autres, qui vous en diront, peut-être, plus sur vous-même.
L’effronté. Vous avez tendance à pousser les autres à grincer des dents. Trop franc, trop loud, caustique au point d’en être quelquefois mortel, vous énervez plus qu’autre chose. A force de vivre dans une ambiance où tout le monde a un peu peur de votre langue – de vipère – et de créer des tensions, vous finissez par ne pas être apprécié du tout et à vous retrouver seul.
Mettez un peu d’eau dans votre vin et dites les choses moins directement. Les gens verront finalement que derrière ces paroles acerbes et ce positionnement de juge, il se cache une personne qui peut être très divertissante.
L’équilibré.On dirait que tout va tout seul pour vous. Vous réussissez très facilement là ou d’autres ont échoué, vous n’en faites pas trop et vous semblez toujours zen.
Voilà de quoi attirer la jalousie de quelques personne qui eux triment pour n’avoir que le quart de ce que vous avez.
Vous n’y pouvez rien, c’est naturel chez vous mais par contre vous pouvez témoigner des problèmes rencontrés ou, tout simplement, vous pouvez complimenter ceux qui vous entourent sur les qualités que vous voyez en eux.
N’oubliez pas que derrière la jalousie se cache bien souvent une grande admiration.
Le timide.Vous ne laissez rien paraître de vous-même et cela peut agacer ceux que vous côtoyez. Pourtant ce n’est pas parce que vous êtes une personne secrète mais tout simplement parce que vous n’osez pas parler au cas où vous ne direz pas la chose comme il faut. La peur du ridicule, la peur d’attirer l’attention sur vous fait qu’à un moment, les autres arrêtent d’essayer de vous approcher et de vous connaitre. Tout «mal» se soigne. Et si petit à petit, en commençant avec les membres de votre famille, vous commenciez à parler de vous ? Ça vous fera de la pratique et soulèvera le voile sur la personne que vous êtes vraiment.
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