L’image de la gentille fille adorable lui colle à la peau. Avec «Force» (John Abraham), sorti la semaine dernière en salle, Genelia D’Souza a tenté de se réinventer.

Votre alchimie à l’écran avec John Abraham fait jaser…

Oui, c’est vrai. Nous sommes tous les deux très relaxes, on ne se soucie pas de paraître parfait à l’écran. Force comporte beaucoup de scènes intimes. C’est un film d’action, mais aussi une histoire d’amour entre deux êtres matures. Il y a beaucoup de sensualité dans le film.

Vous aviez déjà tourné des scènes intimes, mais vous n’avez, jusqu’ici, jamais embrassé votre partenaire…

Je ne pense pas que cela soit nécessaire dans le cinéma indien. La plupart du temps, les scènes de baiser ne sont incluses que pour attirer le public et faire sensation !

On vous cantonne souvent dans le rôle de la fille mignonne et pétillante…

J’ai essayé de briser cette image avec Force. Certes, mon personnage est adorable et pétillant, mais il est aussi très mature. Les gens pensent souvent qu’être adorable veut dire être ingénue.
Ce n’est pas vrai. Les gens «mignons» ne sont pas bêtes c’est ce que je veux prouver…

Vous n’avez pas joué dans beaucoup de films à Bollywood jusqu’à présent…

Je veux tourner plus à Bollywood, mais je veux aussi faire des films dans le Sud. Pour moi, la langue n’est pas un facteur décisif en choisissant un fi lm, c’est le rôle qui importe. Je fais partie de cinq industries cinématographiques en Inde, et c’est rare.

Et Hollywood, vous y avez pensé ?

Si on m’offre un bon rôle dans un film hollywoodien, pourquoi pas. Mais, il y a beaucoup d’industries en Inde et je suis contente de toutes les explorer.

Quand vous verra-t-on dans une «item song» à la «Munni» ou «Sheila» ?

Je ne pense pas qu’une item song soit absolument nécessaire mais j’en ferai une si besoin est. Je peux cependant vous assurer qu’elle ne sera pas vulgaire.

Au fil des années, on vous a souvent prêté une liaison avec Riteish Deshmukh. Et, maintenant, on apprend que vous vous mariez bientôt…

Je crois que les médias en font une obsession depuis que j’ai tourné dans mon premier film à Bollywood avec lui. Le fait est qu’au début de votre carrière, quand vous tournez avec quelqu’un, vous devenez amis. Vous n’êtes pas encore des co-vedettes, car vous ne savez pas encore ce qu’est la notion de professionnalisme. C’est ainsi que Riteish et moi sommes devenus amis. S’il y a quelque chose à annoncer, je le ferai en temps et lieu.

Stéphanie TECHER
(l’express & moi, mercredi 5 octobre)

Stphanie TECHER