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Elections municipales : Xavier-Luc Duval en campagne à Quatre-Bornes

23 juillet 2011, 00:00

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Elections municipales : Xavier-Luc Duval en campagne à Quatre-Bornes

Le ministre de l’Intégration sociale invite les habitants de Quatre-Bornes à voter une nouvelle fois pour l’alliance gouvernementale. Il vante les mérites d’une entente entre élus du même bloc plutôt que la cohabitation avec l’opposition.

Le ministre Xavier-Luc Duval a procédé, ce vendredi 22 juillet, à l’inauguration d’un centre municipal à Sodnac. La nouveau bâtiment portera le nom de l’ancien ministre des Administration régionales, feu James Burty David.

Le ministre de l’Intégration sociale a axé son discours sur la nécessité pour les citadins d’élire l’équipe que proposera l’Alliance de l’Avenir pour diriger les administrations urbaines. Xavier-Luc Duval affirme que c’est le meilleur moyen d’assurer le développement dans les villes. Son collègue Hervé Aimé, ministre des Administration régionales et Nita Deerpalsing, députée de la circonscription No. 18 (Belle-Rose-Quatre-Bornes) ont aussi participé à la cérémonie.

Le ministre de l’Intégration sociale et également député de Belle-Rose-Quatre-Bornes a présenté la concrétisation du projet d’un centre municipal à Sodnac comme un exemple de réussite de la collaboration, de 2005 à 2010, entre les membres du gouvernement central et les conseillers municipaux. «Tous des élus l’Alliance sociale », a-t-il précisé.

«L’Alliance sociale était au gouvernement et au pouvoir dans les municipalités. Nous voyons aujourd’hui le résultat. Dans quelques mois il y aura des nouvelles élections municipales. Je vous demande de voter cette fois-ci pour l’Alliance de l’Avenir, pour que nous puissions travailler ensemble, pour une collaboration fructueuse», a-t-il ajouté.

Aucun des trois membres du gouvernement n’a souhaité commenter l’arrestation de la ministre de la Santé, Maya Hanoomanjee. Xavier-Luc Duval a laissé entendre que la seule déclaration qu’il était disposé à faire sur cette affaire est qu’il n’avait «aucune déclaration à faire». La députée Nita Deerparlsing a adopté la même posture . «Je ne refuse presque jamais de parler à la presse. Mais je sais aussi quand il ne faut pas faire de déclaration», a-t-elle ironisé.