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Arjun Rampal : « Nul n’est irremplaçable »

21 septembre 2011, 00:00

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Arjun Rampal : « Nul n’est irremplaçable »

De «Ra.One» à «Heroine», en passant par l’obtention du «National Award», Arjun Rampal évoque avec sincérité le chemin parcouru.

Quand verrons-nous le visage de «Ra.One» ?

Je me suis délibérément tenu à l’écart des promotions. Le public indien aura en G.One (NdlR : le personnage de Shahrukh Khan), un nouveau type de super héros. Nous essayons de l’y habituer.

«Heroine» a souvent fait la une ces derniers temps, surtout après le désistement d’Aishwarya Rai et l’indécision de Kareena Kapoor. Vous en pensez quoi ?

Aishwarya Rai vit actuellement une super période. Je lui souhaite tout le bonheur du monde. N’empêche que nul n’est irremplaçable. C’est un rôle d’auteur et je suis sûr que l’actrice qui sera choisie sera à la hauteur.

On vous a souvent critiqué pour vos expressions figées. J’imagine qu’avoir remporté le «National Award» est une belle revanche…

C’est sûr que cela a été un honneur de recevoir cette récompense. Mais, vous savez, je ne crois pas que les critiques soient foncièrement méchants. Il faut simplement prendre ce qu’ils disent avec du recul…

Quid de votre soi disant différend avec Shahrukh Khan ? Vous en parlez ?

Oui, il semblerait que nous sommes comme mari et femme (rires). En fait, nous n’en parlons jamais ce n’était que de la publicité bon marché !

Vous avez un look plutôt international. Vous devriez être inondé d’offres de Hollywood...

On accorde trop d’importance à ces choses. C’est sûr que jouer dans un film hollywoodien est profitable car l’anglais est une langue universelle. Mais je pense que bientôt, nous verrons également des acteurs hollywoodiens dans nos films.

Vous avez une clause dans votre contrat stipulant que vous n’embrasserez pas votre partenaire à l’écran ?

J’essaie de l’éviter autant que possible. Mais, qui sait ? Je trouve qu’on fait trop de tapage autour. Car, en fin de compte, les scènes intimes ou embrasser son partenaire à l’écran, tout cela c’est naturel.

Stéphanie TECHER
(l’express & moi, mercredi 21 septembre)

Stphanie TECHER