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Afghanistan : retrait de 1 000 soldats français d''ici à fin 2012

12 juillet 2011, 00:00

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Afghanistan : retrait de 1 000 soldats français d''ici à fin 2012

Le président français Nicolas Sarkozy est arrivé mardi 12 juillet à Kaboul pour une visite de cinq heures au cours de laquelle il doit rencontrer son homologue Hamid Karzaï et le général américain David Petraeus, commandant des forces étrangères en Afghanistan.

Avant cela, le chef de l''''Etat s''est rendu sur la base avancée française de Tora, dans le district de Surobi. Il a annoncé le retrait de 1000 soldats sur les 4 000 déployés dans le pays.  « Il faut savoir finir une guerre (...) », a déclaré le président Sarkozy à la presse ce mardi matin. 

Cette visite éclair en Afghanistan est la troisième du chef de l''Etat depuis son élection. Il s''y est rendu en décembre 2007, puis en août 2008.

Syrie : Assad a perdu sa légitimité, selon Mme Clinton
 
Après l''attaque, lundi,  des ambassades américaine et française à Damas, la secrétaire d''Etat américaine, Hillary Clinton, a estimé, pour la première fois après quatre mois de violences en Syrie, que le président Bachar al-Assad avait «perdu sa légitimité». «Il a échoué à honorer ses promesses, il a recherché et accepté l''aide de l''Iran (...) pour réprimer son peuple. Le président Assad n''est pas indispensable et nous n''avons absolument rien investi dans le fait qu''il reste au pouvoir», a encore prévenu Mme Clinton.

«Notre objectif, a-t-elle martelé, est que la volonté de transformation démocratique du peuple syrien se réalise». Mme Clinton a accusé le régime de «chercher à détourner l''attention» de sa répression en s''en prenant aux ambassades américaine et française. Elle a également réclamé une nouvelle fois l''arrêt des violences en Syrie ».

Grande-Bretagne : Assange conteste encore son extradition

Nouvelle étape ce mardi du marathon judiciaire de Julian Assange en Grande-Bretagne: le fondateur de Wikileaks contestera aujourd''hui son extradition vers la Suède, décidée par un tribunal londonien en février dernier.

Assigné à résidence dans un manoir cossu près de Londres depuis décembre, Julian Assange comparaît ce mardi et mercredi devant la Haute Cour britannique, pour contester son extradition vers la Suède pour une affaire de viol et agressions sexuelles. Le fondateur de Wikileaks doit interjeter appel de la décision d''un tribunal londonien en février de valider la demande d''extradition émise à son encontre par la Suède.

Julian Assange a toujours nié les accusations, portées par deux Suédoises pour des faits remontant à août 2010. Il assure que les jeunes femmes étaient consentantes. En février, en premier instance, le juge britannique Howard Riddle avait donné son feu vert à l''extradition. Il avait balayé les arguments de la défense, notamment celui selon lequel l''accusé ne pourrait pas bénéficier d''un "procès équitable" en Suède au prétexte que les affaires à caractère sexuel se traitent généralement à huis clos dans ce pays.