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Business de call girls à Dubaï, demande d’asile à Londres et nouvelle version de Sheik-Hossen
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Business de call girls à Dubaï, demande d’asile à Londres et nouvelle version de Sheik-Hossen
C’est probablement la plus grosse affaire d’escroquerie politique après l'affaire Sheik Hossen il y a 40 ans de cela.
On pourrait bien assister à partir du matin du dimanche 20 septembre à l'histoire «fantastique» d’un Mauricien dont la demande d’asile politique en Angleterre n’a pas abouti.
D’après les informations, ce Mauricien qui allait être expulsé de l’Angleterre a été «acheté» par des proches du pouvoir afin qu’il fasse de fausses dénonciations contre des chefs de l’opposition dont Navin Ramgoolam et Paul Bérenger.
Selon nos renseignements, l’homme avait été expulsé de Dubaï en raison de sa participation dans un réseau de call girls - prostitution de luxe - mais il avait vite présenté cet événement comme une décision politique à son encontre. Il affirmait avoir été victime de ses posts sur Facebook contre le gouvernement mauricien.
Après son expulsion de Dubaï et une fois rentré à Maurice, l’homme a entamé des démarches pour demander l'asile politique en Angleterre, affirmant qu’il était «victimised» par le gouvernement mauricien. C’était bien avant le problème du Covid-19. Le gouvernement britannique ayant vite découvert la supercherie, l’homme s’exposa à la déportation. Mais jamais en manque d’imagination, l’homme prend contact avec des éléments proches du pouvoir pour offrir ses… services.
Après son retour de Londres au pays en classe affaires et son séjour en quarantaine dans un hôtel cinq-étoiles payé par un boss politique, l’homme a rencontré des hommes associés au pouvoir, des advisers et au moins un journaliste…
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