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Harcèlement allégué par une femme: «Je veux vivre sans crainte…»

14 mai 2018, 20:50

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Harcèlement allégué par une femme: «Je veux vivre sans crainte…»

Il clame être harcelé par une femme et son mari et ne sait pas à quel saint se vouer. Cet habitant de Vallée-des-Prêtres a porté plainte au poste de police de Rose-Hill en ce 14 mai pour menaces de mort et harcèlement. Il sollicite l’intervention de la police pour pouvoir mener une vie sans crainte.

Tout a démarré l’année dernière. La femme en question était une cliente de l’entreprise où le plaignant travaille. «On lui livrait des marchandises pour sa boutique», raconte cet homme de 32 ans. Les deux auraient commencé à s’échanger des messages intimes. «Lorsque j’ai appris qu’elle est une femme mariée, j’ai rompu tout contact au téléphone avec elle.»

Enter l’époux

Et c’est à partir de là que les choses se sont détériorées. «Elle a commencé à m’appeler sans cesse. Je me sens harcelé», poursuit notre interlocuteur. Or, selon lui, le mari aurait également pris contact avec lui, demandant qu’ils se rencontrent. «J’ai expliqué au mari qu’il n’y avait rien entre sa femme et moi et que j’ai coupé contact avec elle mais il a insisté que je vienne chez lui pour entamer une discussion», dit-il.

Toujours selon ses dires, le mari et quelques hommes auraient débarqué chez lui et l’aurait tabassé. «Je suis allé à l’hôpital pour recevoir des soins. Les hommes et le mari m’ont sollicité pour entamer une négociation et le mari m’a entraîné dans la salle des soins intensifs, me montrant sa femme qui aurait consommé de la soude caustique», soutient l’homme.

Peur de représailles

Il allègue que le mari lui aurait demandé d’assumer les frais médicaux car il serait responsable de l’état de la femme. «Il m’a dit d’encourir les frais médicaux et de faire transférer la femme dans une clinique. Par peur de représailles, j’ai dit oui

Ne se sentant plus en sécurité, le trentenaire a porté plainte à la police, car dit-il, l’affaire a dégénéré. «Ils se sont introduits chez mes parents très âgés et les ont menacés avec un couteau. Ma vie est en danger