
Après chaque fête à Maurice, c’est la même désolation. Les déchets s’entassent dans tous les coins. Que ce soit à Flic-en-Flac ou Albion, les plages sont une fois de plus laissées dans un état déplorable, donnant un surplus de travail aux contractuels chargées du nettoyage. Mais ce fait devrait-il pour autant être attribué à une composante particulière de la nation mauricienne ? Pas si sûr.
