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Facettes cachées de… Philippe Hao Thyn Voon: he has a dream…

31 décembre 2017, 12:40

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Facettes cachées de… Philippe Hao Thyn Voon: he has a dream…

Le président du Comité olympique mauricien (COM), Philippe Hao Thyn Voon, a du pain sur la planche. Avant de tirer sa révérence, il rêve d’offrir à Maurice une médaille d’or olympique.

En tant que président du COM, quels sont vos projets pour 2018 ?
Il y en a plusieurs. Je dois finaliser le plan stratégique de développement du COM ainsi que son programme d’activation pour ces deux prochaines olympiades ; préparer les Jeux du Commonwealth au Goldcoast, en avril 2018, et les Jeux des jeunes olympiens à Buenos Aires, en octobre 2018 ; dynamiser le mouvement olympique à travers la mise en oeuvre de notre plan d’actions prioritaires.

Je dois mettre en valeur les premiers éléments de notre patrimoine au sein de notre futur musée olympique et renforcer notre influence dans le domaine du développement du sport par l’intermédiaire d’actions mises en place au sein du centre Olympafrica.

Que faites-vous durant le week-end ?
Je passe le week-end avec mes animaux, mes plantes, tout en consacrant du temps à ma famille.

Parlez-nous de votre famille.
Je suis marié à Margaret. J’ai deux fils et six petits-enfants, dont l’aîné, Noah, est déjà champion de sa catégorie au tir à l’arc.

Gourmand ou gourmet ?
Gourmand non, mais un peu gourmet.

Un péché mignon ?
La rougaille de poisson salé snoek.

Pratiquez-vous du sport ?
Rarement désormais… Mais quand je le fais, c’est bien sûr le tennis de table.

Quels livres lisez-vous ?
Je suis un adepte du Reader’s Digest.

Qu’écoutez-vous à la radio ?
J’écoute tous les matins 7 milliards de voisins sur RFI.

Et à la télévision ?
J’aime regarder Nature Wild, National Geographic, ainsi que les émissions et les retransmissions d’événements sportifs.

Quel type de musique écoutez-vous ?
Les oldies des années 60 et 70.

Pour vous, c’est quoi le bonheur ?
Être en bonne santé et toujours bien entouré.

Qu’auriez-vous souhaité réaliser avant de quitter ce monde ?
Le sport m’a tout donné. Quitter ce monde sans voir un médaillé d’or mauricien aux Jeux olympiques serait mon seul regret.