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Les grands titres de l’express du lundi 22 février
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Les grands titres de l’express du lundi 22 février
A la une: Pesticides: enquête de l’express sur les abus. Autres titres: Soupçons de maldonne sur des morcellements VRS, l’ICAC s’y intéresse. 17 ans après, le mythe Kaya existe-t-il toujours?
Pesticides: répandons nos solutions
Imposer une traçabilité stricte, surveiller et punir les contrevenants qui dépassent les normes en matière de pesticides. Telles sont nos propositions à l’issue de notre enquête sur le sujet, qui montre qu’il a urgence à agir. Autorités, à vous de jouer.
Enquête de l’ICAC: Soupçons de maldonne sur des morcellements VRS
Un entrepreneur chargé de cinq morcellements VRS sur les terres d’Altéo n’aurait pas respecté les spécifications pour leur aménagement, en 2012. La Mauritius Cane Industry Authority l’avait déjà relevé à l’époque mais n’avait rien pu faire. La Commission anticorruption vient de se saisir du dossier, après une plainte déposée en janvier sur ces travaux.
Inondations: Un soutien financier accordé aux planteurs cette semaine
Rs 2 400 par arpent. C’est le montant que toucheront les planteurs éligibles à l’aide financière visant à les dédommager à la suite des grosses averses de début février. Le rapport final du Small Farmers’ Welfare Fund (SFWF) devrait être prêt en début de semaine. Il définira le nombre de planteurs ayant perdu plus de 50 % de leurs plantations qui auront une aide financière.
Arvin Boolell: « Ne prenez pas mon humilité pour de la faiblesse»
Entretien avec Arvin Boolell dans le cadre des 80 ans d’existence du Parti travailliste. Il passe en revue l’actualité, parle des élections de 2014 et de son avenir politique.
17 ans après : Kaya, l’artiste devenu icône des jeunes
Cela fait 17 ans hier que le chanteur a disparu. Ses chansons et ses messages sont-ils toujours d’actualité pour les jeunes d’aujourd’hui ? Figure-t-il sur leur playlist ? Éléments de réponse.
Usine Texuma: Bangladais et Mauriciens sans salaire depuis décembre
Ils ne savent plus sur quel pied danser. Non seulement ils affirment qu'ils n'ont obtenu leur salaire depuis décembre, mais leur patron a aussi laissé entendre que l’usine où ils travaillent fermera ses portes. Il s’agit de 14 ouvriers bangladais de l’usine Le Texuma, sise à Coromandel. Leurs collègues mauriciens – ils sont à cinq – ont eu, légèrement, plus de chances. Ils ont perçu la moitié de leur salaire de décembre.
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