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Les grands titres de l’express de ce samedi 19 septembre

18 septembre 2015, 21:26

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Les grands titres de l’express de ce samedi 19 septembre

En Une de l'express de ce samedi 19 septembre : Le calvaire d'une vingtaine de Mauriciens «chassés» du Canada. En effet, ils ne sont plus les bienvenus dans ce pays, n'étant plus reconnus comme des «skilled workers». Le profil des postes qu'ils occupent au Québec a été revu. Résultat : il se pourrait qu'ils doivent quitter leur pays d'accueil d'ici fin septembre après avoir passé plusieurs années là-bas.

 

Migration circulaire: des Mauriciens «chassés» du Canada

 

Ils ont un peu plus d’une semaine pour quitter le Québec. Au cas contraire, ils seront déportés. C’est le drame que vivent actuellement une vingtaine de Mauriciens établis au Canada depuis plusieurs années. Ils ne sont désormais plus les bienvenus, n’étant plus reconnus comme des «skilled workers»…

 

À lire aussi dans l’express de ce samedi :

 

«Vir go» : stop aux  idées reçues

Ils tournent les panneaux au gré de la circulation. Mais détrompez-vous, les ouvriers qui s'en chargent ont du pain sur la planche car ils doivent se concentrer sur la circulation, sur ce que fait leurs coéquipiers et supporter les «zouré» des supérieurs. Rencontre.

 

Agression conjugale : la prison «trop sévère» pour quelques gifles

Il avait écopé de deux semaines de prison pour avoir agressé son épouse. Mais mercredi, sa sentence a été rayée en appel. Les juges ont renvoyé le dossier de Deetendranath Purmamund à la cour de Pamplemousses pour décider d'un ordre pour qu'il effectue des travaux communautaires. 

 

L'affaire Roches-Noires sur la table du DPP

Dans sa réponse écrite soumise au Parlement, le Premier ministre sir Anerood Jugnauth indique que la police a bouclé son enquête sur le vol perpétré au campement de Navin Ramgoolam à Roches-Noires le 3 juillet 2011. Il indique que le dossier a été remis au bureau du DPP.

 

Iframac : la solitude de ceux qui n’ont pas le choix…

Les locaux d'Iframac, à Plaine-Lauzun, sont tapissés des vestiges d'un passé encore trop présent. Les employés ont les nerfs à fleur de peau, mais s'efforcent de sourire pour accueillir les visiteurs. «Les gens n'ont pas idées de ce que nous vivons», confie une employée qui compte 25 années de services chez Iframac.