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Une élève invente un viol pour piéger un employé d’école
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Une élève invente un viol pour piéger un employé d’école
Son récit de viol ne tient pas la route. Une élève du Certificate of Primary Education a allégué qu’un employé d’école a eu des relations sexuelles avec elle à trois occasions dans un bungalow.
Histoire inventée de toutes pièces
La magistrate Ida Dookhy-Rambarun n’a pas cru en sa version et a acquitté l’accusé, Jean Carl Ricardo Clarel Lascie, vendredi, en cour intermédiaire. La magistrate note que le témoignage de la présumée victime est truffé de contradictions et qu’elle ne peut se fier à cette version pour reconnaître l’accusé coupable. L’écolière a inventé cette histoire de toutes pièces pour piéger l’accusé.
Cet employé d’école avait nié les accusations portées contre lui par l’élève. Il a expliqué dans sa déposition qu’il connaît cette dernière parce qu’il travaillait à l’école qu’elle fréquentait. Il a en outre précisé qu’il ne l’avait jamais accompagnée dans un bungalow.
L’enquête de la police a établi que l’écolière ne s’est jamais rendue dans le bungalow en question. Le propriétaire du bungalow de son côté a nié avoir loué son établissement à l’accusé ou à quelqu’un d’autre pendant la période du délit allégué.
L’enquêteur de la police a affirmé en cour que la victime lui a montré une porte qu’elle avait traversée pour avoir accès au bungalow. Cependant, lorsqu’il a examiné la porte, il a découvert qu’elle n’avait pas été utilisée depuis longtemps. Le propriétaire avait, en effet, perdu la clé de cette porte qui est restée fermée.
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