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Droits des enfants: la parole à ceux qui les défendent

1 décembre 2015, 10:55

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Droits des enfants: la parole à ceux qui les défendent

Avec tout ce qui se passe dans l’actualité, ici ou ailleurs, on en oublierait que les enfants ont des droits et qu’une convention internationale les a établis. Maurice en est signataire depuis 1990. Mais entre les écrits et la réalité, il y a toujours un fossé. Le 20 novembre marque la Journée internationale des droits des enfants. Comme un jour c’est tellement peu face à l’ampleur de la tâche de faire respecter (et connaître !) les droits des enfants, le Kolektif Drwa Zanfan Morisien (ZDZM) organise une série d’activités qui se tiendront durant tout novembre. Celle-ci a démarré le 4 novembre, via une campagne de communication radio. Le 12 novembre, il y a eu le lancement du clip de la chanson de Laura Beg «Drwa Zanfan Morisien». Vendredi 20 novembre, une journée d’activités sur la place Margéot de Rose-Hill devait avoir lieu, ainsi qu’une chaîne symbolique de 600 enfants à Rivière-Noire, le 21 novembre.


L’express a souhaité donner la parole à différentes organisations non-gouvernementales du KDZM, qui, chacune dans leur secteur, œuvrent à la protection des droits des enfants. Elles apporteront, tout au long de ce mois, un éclairage «local» sur un aspect de la convention des Nations unies les concernant. Mais faire respecter les droits des enfants, c’est aussi l’affaire de tous, parents, adultes, institutions, Etat… Chacun doit, à son niveau, aider ceux qui ne peuvent se protéger seuls à le faire. Voici notre série d'interviews sur ce sujet. 

 

Viken Vadeevaloo, directeur, Adolescent Non-Formal Education Network (ANFEN)
«Le système éducatif, un crime contre le potentiel humain»


 



Dominique Chan Low, Reintegration Coordinator and Residential Administrator, Kinouété :
«La Juvenile offenders Act est archaïque»

 



Nathalie Philogène, coordinatrice de terrain, Terrain for Interactive Pedagogy through Arts (TIPA)
«Le droit de l’enfant doit encore prendre sa place à l’école»

 



Géraldine Aliphon, cofondatrice et directrice des structures, Autisme Maurice : 
«Pourquoi l’Etat n’accorde toute son aide qu’aux enfants ‘normaux’ ?»

 



Emilie Duval, responsable du département de Psychologie et Counselling, Institut Cardinal Jean Margeot: 
 




Mélanie Vigier de Latour-Bérenger, directrice, Pédostop: 
 
 


Mary-Anne Legallant, coordinatrice des centres d’éveil à Caritas : «Il faut un salaire minimum»